Fin XIXème s., à la gare d’eau, qu’on appelait Rivage. Ces péniches en bois sont chargées à l’aide de paniers en osier par des jeunes filles. Un travail de forçat mal rémunéré. Cependant, ces filles garderont un bon souvenir tant la solidarité et la convivialité étaient fortes entre elles.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Vers 1945. Ces jeunes filles CAFUS sont affectées au criblage (triage), travail qui consiste à séparer le charbon des pierres. Debout de gauche à droite : Joséphine SIMON, Madeleine VERBRUGE, Angèle GRUBOIS ; Assises de gauche à droite : ……….. X……………, Marie PELLEGRIN, Jacqueline GRAVELLE.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Extrémité de la rue Lamartine. Une vue de l’entrée du rivage et des bâtiments du criblage. Au premier plan, le canal du Jard se dirige vers l’arrière de la cité Thiers.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
La gare d’eau creusée dans le carreau de la fosse est reliée à l’Escaut.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Activité interne : à gauche, l’automoteur vient d’être chargé et s’apprête à rejoindre l’Escaut.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Le Rivage dans les dernières années d’activité. Le chargement des péniches s’effectue avec des répartiteurs et des mélangeurs surélevés.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Le criblage : c’est le travail des cafus qui doivent trier le charbon. Elles portent un grand fichu sur la tête, les protégeant bien mal de la poussière de charbon.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)